Dans cette huile estivale, Evard représente un paysage dans des tons clairs d’été. Le tableau peut être divisé en premier plan, plan moyen et arrière-plan. Au premier plan, Evard a placé un arbre isolé qui, contrairement à d’autres paysages de sa main, ne se trouve pas directement sur l’axe central, mais légèrement décalé vers la droite. L’image est donc ici composée selon les règles du nombre d’or, puisque l’arbre se trouve dans le dernier tiers de l’image. Le dégradé de couleurs du ciel, du bleu froid au jaune chaud, rend la chaleur directement perceptible pour le spectateur.