Le printemps au-dessus des collines 1921 Huile sur panneau 27 x 22 cm

Cette peinture à l’huile parvient à évoquer l’impression d’un paysage avec peu de formes. Ce qui est extraordinaire dans ce tableau, c’est que le ciel représente plus des deux tiers de l’ensemble. Tout comme le Moine au bord de la mer de Caspar David Friedrich, le tableau dégage une certaine solitude. Mais contrairement au Moine au bord de la mer de Friedrich, cela n’a rien d’oppressant, car la verdure juteuse éclairée par le soleil donne une impression de gaieté. Le regard du spectateur se porte vers le lointain et donc vers les innombrables possibilités que l’avenir offrira encore.